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L'article provient de TVA Sports
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«Un immense été», nous confirme son agent: Florian Xhekaj est arrivé avec des troncs d’arbre

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Photo portrait de Nicolas Cloutier

Nicolas Cloutier

2025-09-11T12:53:40Z
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Pour ceux qui auraient vu passer les photos de Florian Xhekaj lors des tests physiques du camp des recrues des Canadiens de Montréal, vous n’avez pas la berlue: le jeune homme a pris de la masse. Ses jambes massives sont celles d’un joueur de la Ligue nationale de hockey (LNH).

Habitué à se chamailler avec Arber, le plus jeune des frères Xhekaj a toujours joué avec hargne et courage. Ses quelque 175 minutes de pénalité comme verte recrue dans la Ligue américaine le confirment. Mais il demeurait jusqu’ici relativement mince à 195 lb, pour ses 6 pi et 4 po.

La mère de Florian, Simona, avait même interpellé l’auteur de ces lignes sur X en promettant qu’elle allait y mettre du sien cet été pour grossir la charpente de sa plus jeune progéniture.

Comme de raison, le Florian Xhekaj qui est débarqué au camp apparaît plus mûr que jamais physiquement pour affronter les rigueurs de la LNH, où il devra se frotter à des monstres sur une base quotidienne.

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«Écoute, c’est un des joueurs chez qui j’ai constaté une prise de masse [en le revoyant aujourd’hui], a observé l’entraîneur adjoint du Rocket de Laval Martin Laperrière, mercredi. Il a pris un peu plus de coffre et c’est sûr qu'il sera plus fort.»

L’agent de Florian, Brian Bartlett, nous a confirmé dans un échange de messages ce dont on se doutait bien. Le jeune Xhekaj a ouvert la machine pendant la saison morte.

«Il a connu un immense été, a confié Bartlett à TVA Sports. Il a fait la navette entre Montréal et Hamilton tout l’été avec Arber, et les deux se sont poussés à fond.»

• Écoutez aussi cet épisode balado tiré de l'émission de Mario Dumont, diffusée sur les plateformes QUB et simultanément sur le 99.5 FM Montréal :

D’ailleurs, à en croire les propos du pilote du Rocket, Pascal Vincent, Florian est destiné à enfiler plus tôt que tard le chandail des Canadiens de Montréal. Vincent s’est presque résigné au fait que les jours de son poulain dans la Ligue américaine sont comptés. 

«Je me trouve chanceux d’avoir pu le diriger, a-t-il avoué lors d’une invitation au balado The Sick Podcast - The Eye Test, au mois d’août. Qui sait ce qui arrivera la saison prochaine, mais il va être dans la LNH plus tôt que tard, dans mon esprit.»

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