Un bruit de flatulence tonitruant perturbe le discours de John Kerry à la COP28

L’envoyé spécial présidentiel américain pour le climat devrait-il surveiller ses propres émissions de gaz?

C’est une question qui amuse actuellement tous les médias de nouvelles insolites du monde, après que John Kerry fut interrompu par un retentissant bruit de pet, dimanche, à la COP28, à Dubaï.

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En tant qu’envoyé spécial pour le climat du président Joe Biden, celui qui fut Secrétaire d’État sous Barack Obama discutait de la politique américaine concernant les centrales électriques au charbon.

Flanqué de Becky Anderson, rédactrice en chef de CNN Abu Dhabi, et de Fatih Birol, directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie, Kerry captivait l’assistance avec son allocution sur le charbon quand la secousse s’est fait sentir.

«Il ne devrait plus y avoir de centrales électriques au charbon autorisées nulle part dans le monde. Je me retrouve de plus en plus militant parce que je ne comprends pas comment des adultes en position de responsabilité peuvent éviter de prendre la responsabilité de supprimer ces choses qui tuent des gens quotidiennement... » et c’est là que le bruit de flatulence a surgi.

Becky Anderson, à sa droite, semble avoir particulièrement senti la secousse, si l’on se fie à son expression faciale.

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Kerry, lui, qui fut également candidat à l’élection présidentielle de 2004 sous la bannière démocrate, a poursuivi son allocution comme si de rien n’était.

Mais sur les réseaux sociaux, des internautes de partout ont souligné l’incident nauséabond en se demandant si Kerry, dont le travail est essentiellement de réduire les émissions de gaz à effet de serre, ne devrait pas commencer par lui-même.

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