Trump: l’antidote au poison woke

La semaine dernière, j’ai dénoncé Donald Trump pour les tarifs douaniers de 25% avec lesquels il menace le Canada.

En revanche, je ne peux qu’applaudir ses nombreux décrets destinés à enrayer la progression de la culture woke et de son programme de déconstruction.

Le wokisme est un turbocancer idéologique qui ronge nos sociétés. Il a progressé agressivement grâce au soutien de l’administration Biden et de Justin Trudeau, le woke en chef du Canada.

Mais ce temps est révolu.

Immoral

En disant tout haut ce que la majorité silencieuse, exaspérée par la tyrannie des minorités, pense tout bas, Trump fait du wokisme un feu de paille qui sera bientôt éteint.

En l’occurrence, il a éliminé les programmes équité, diversité et inclusion (EDI) dans les agences fédérales. Et il a bien raison!

Une société ne progresse qu’à condition d’encourager l’excellence et de valoriser le mérite.

Or, pour les politiques EDI, le mérite est secondaire, sinon accessoire. La couleur de peau, l’ethnie, l’orientation sexuelle et le ressenti ont préséance sur les qualifications.

Les politiques EDI prétendent ainsi combattre le racisme mais, au contraire, elles l’institutionnalisent et le systématisent. Elles se veulent vertueuses, mais elles sont intrinsèquement immorales. On trouve d’ailleurs rarement plus raciste et sectaire qu’un activiste woke!

A contrario, rien n’est plus inclusif que la sélection au mérite, car elle ne discrimine pas sur des bases superficielles, mais en fonction de la performance. Quand on privilégie le mérite, seuls les médiocres hurlent au scandale, car ils savent qu’ils seront pénalisés.

Cercueil

Certes, la déwokisation des entreprises avait timidement débuté avant l’élection de Trump. Mais aujourd’hui, le mouvement semble se libérer de ses chaînes, et même les géants de la tech, jadis propagandistes du wokisme, enterrent avec empressement leurs politiques EDI.

À force d’excès et d’absurdités, le wokisme a creusé sa propre tombe. Maintenant, les décrets trumpiens enfoncent le dernier clou de son cercueil. Bon débarras!