Trump dérange... même quand il orchestre la paix

Trump n’a pas remporté le Nobel de la paix.

Pour certains, c’est normal, car l’homme n’aurait «pas le calibre». Pour d’autres, le cessez-le-feu à Gaza est l’un de ses «rares bons coups».

Certes, Trump est un personnage atypique. Il brille souvent par son style abrasif et ses propos provocateurs. Et on peut assurément lui adresser des griefs légitimes.

Résultats

Toutefois, la diplomatie ne se mesure pas à l’élégance des tweets, mais aux résultats obtenus. Or, Trump a fait davantage pour la paix que certains lauréats pourtant encensés.

Trump n’a ni déclenché de guerre ni intensifié un conflit existant.

Il a entamé un dialogue inédit avec la Corée du Nord, et a imposé une politique de fermeté envers la Chine sans recourir à la force.

Mais surtout, en orchestrant les Accords d'Abraham, il a redonné au Moyen-Orient l’espoir d’un avenir serein.

Et là, il obtient un cessez-le-feu à Gaza et la libération de tous les otages israéliens.

Si on laisse l’objectivité l’emporter sur l’émotion, force est d’admettre que Trump a réussi là où tous les autres chefs d’État ont échoué. Il a prouvé que la paix se forge avec des actions concrètes et des négociations musclées, non pas avec des discours lénifiants. Et ça, les anti-Trump pathologiques ne le digèrent pas!

Incurable

Quand Obama a reçu le Nobel de la paix, ce n’était pas pour ses réalisations, mais pour ses promesses. Son prix n’était qu’un acte de foi d’un Occident en mal de messie.

Mais lorsque Trump réalise des avancées exceptionnelles, plusieurs les minimisent et les caricaturent, quitte à nier l’évidence. Ces malheureux souffrent du syndrome de la Trumpophobie aiguë, une affection vraisemblablement incurable qui pousse à voir le mal même dans le bien.

On peut critiquer les excès de Trump. Mais reconnaissons aussi ses victoires.

Car, de toute manière, si le Nobel l’a ignoré, l’Histoire, elle, ne l’oubliera pas!