Soins vétérinaires difficiles d'accès: son élevage de chats de race Serengeti durement affecté

Le gagne-pain d'une éleveuse de chats de race Serengeti est durement affecté par l'accessibilité aux soins vétérinaires, essentielle pour la santé de ses 15 chats. 

Jo-Ann Lapointe, propriétaire de l’élevage Stormypoint Serengetis et Oriental, à Lévis, est inscrite non pas dans deux, mais bien dans trois cliniques vétérinaires différentes.

Pour les cas urgents, elle n’hésite pas à parcourir des centaines de kilomètres pour se rendre dans un hôpital vétérinaire de Montréal. 

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«L’année passée, j’ai un chat qui était malade, mais je n’ai pas obtenu de rendez-vous dans la région, je devais attendre trois semaines. Je me suis rendue à Montréal pour le faire soigner, mais j’ai finalement dû le faire euthanasier à cause de son état», explique Mme Lapointe. 

Pour cette éleveuse, la perte d’un animal se calcule en termes de plusieurs milliers de dollars.