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Voici comment calculer l'âge de son chat

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Jean-Philippe Lepage

2025-03-27T10:00:00Z
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Contrairement à une idée largement véhiculée, on n’obtient pas l’âge «en années humaines» d’un chat en multipliant son âge réel par sept. Cette méthode ne tient pas compte de la courbe de croissance des chats, qui n’est pas linéaire.

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En effet, durant leurs premières années de vie, les chatons vieillissent plus vite que les chats adultes. On estime qu’un chaton de 12 mois correspond à un adolescent de 15 à 19 ans. À deux ans, il atteint l’âge adulte, ce qui correspond à un âge d’environ 24 ans pour un humain. Par la suite, chaque année de vie supplémentaire équivaudrait à quatre années humaines. Par exemple, l’âge «humain» d’un chat de neuf ans se calcule ainsi: 24 + (7 x 4) = 52 ans. Il ne faut cependant pas oublier que le vieillissement dépend de beaucoup de facteurs. Par exemple, un chat d’appartement, moins exposé aux risques d’accident et de maladie infectieuse ou parasitaire, a plus de chance de vivre plus âgé, tandis qu’un chat en surpoids verra son âge équivalent humain augmenter. La moyenne d’espérance de vie d’un chat est de 13 à 15 ans, un chiffre qui peut tout de même être largement dépassé. À preuve, Creme Puff, qui détient le record de longévité chez les chats, est morte à l’âge plus que vénérable de 38 ans et 3 jours! Plus étonnant encore, son maître la nourrissait de croquettes, mais aussi de brocoli, d’œufs et de bacon de dinde!

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La défense du narval a-t-elle une utilité?

Animal mystérieux, le narval fascine depuis toujours par sa défense, qui peut atteindre jusqu’à 3 m de longueur! Cet attribut est en réalité une dent très allongée et torsadée comportant des millions de terminaisons nerveuses. On a longtemps attribué des pouvoirs magiques à la «corne» de ce cétacé qu’on surnomme d’ailleurs licorne des mers. Comme le narval est difficile à observer dans la nature, la question de l’utilité de cette dent extraordinaire est discutée depuis des centaines d’années. Parmi les hypothèses avancées, on a suggéré qu’il s’agirait d’une sonde acoustique, d’un régulateur thermique, d’un harpon pour attraper les proies, d’une arme contre les prédateurs, d’un outil pour briser la glace ou pour creuser les sédiments, ou encore d’un attribut sexuel secondaire. Dans une étude publiée en février dernier, des chercheurs canadiens et américains ayant utilisé un drone pour observer les narvals ont pu confirmer que ces derniers se servent de leur défense comme d’une arme pour assommer leurs proies. Par ailleurs, ils pensent aussi avoir documenté la première preuve de jeu chez ces cétacés. En effet, ils ont pu filmer deux individus semblant s’amuser avec un omble chevalier à l’aide de leur défense, sans jamais tenter de l’attraper.

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Qu’est-ce que le projet DOMe?

Le projet DOMe (Détection et observation de météores) est un réseau de caméras installées en plein air, dont les images sont analysées par un logiciel qui détecte les météores potentiels, calcule leur trajectoire et détermine leur zone de chute. Son objectif est de dénombrer les météorites et de permettre de les localiser une fois au sol. Dans la nuit du 1er mars, le DOMe a capté la chute d’une météorite près de Drummondville. Si les tentatives de bénévoles pour la retrouver sont demeurées vaines, le petit corps céleste de 30 à 90 grammes pourrait tout de même être retrouvé à la fonte des neiges.

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Quelle taille faisait le mégalodon?

La taille du mégalodon, plus gros prédateur de tous les temps, qui a vécu il y a 3,5 à 20 millions d’années, est encore source de débat parmi les scientifiques. En cause: le manque de fossiles complets. Or, une nouvelle étude donne à penser qu’il aurait pu être plus grand et plus svelte qu’on ne le croyait. «Les anciennes études partaient du principe que le mégalodon devait ressembler à une version gigantesque de notre grand requin blanc, et ce, sans fondements», a expliqué le paléontologue Kenshu Shimada au National Geographic. L’étude à laquelle Kenshu Shimada a travaillé avec une douzaine d’autres experts émet l’hypothèse que le mégalodon aurait eu un corps plus effilé que les grands requins blancs. Les scientifiques ont également donné une nouvelle estimation de sa longueur totale: au maximum, il atteindrait les 24,3 mètres de long! Les anciennes estimations pour les plus grands spécimens étaient de 15 à 18 mètres.

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La nature aide-t-elle à réduire la douleur?

Une étude publiée le 3 mars dans la revue Nature Communications montre que regarder des images de nature réduit la sensation de douleur ainsi que l’activité cérébrale associée à la perception de celle-ci. Pour les fins de cette recherche, 49 participants ont été soumis à une série de petites décharges électriques alors qu’ils regardaient des vidéos de scènes naturelles, urbaines ou d’intérieur et que leur activité cérébrale était analysée. Les travaux des chercheurs ont montré que les personnes ont moins ressenti de douleur en visionnant les scènes de nature. De plus, l’observation de leur cerveau à l’aide d’un scanner a permis de détecter une diminution de signaux relatifs à la douleur. Cette étude offre donc une base prometteuse pour de nouveaux types de traitements de douleur non pharmacologiques. «Nos résultats suggèrent que l’effet analgésique de la nature est authentique, bien que l’effet remarqué était environ la moitié de celui des analgésiques. Donc, les personnes souffrant de douleur devraient certainement continuer à prendre tous les médicaments qui leur ont été prescrits. Mais nous espérons que dans le futur, des façons alternatives de soulager la douleur — comme l’expérience de la nature — pourraient être utilisées pour aider à améliorer la gestion de la douleur», a indiqué Max Steininger, auteur principal de l’étude.

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