À l’approche de la COP26, sommet international pour le climat, la question de l’engagement écologique du Québec se pose.

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Les décisions politiques prises dans le domaine écologiste découlent de l’intérêt de la population sur la question.

«Ce qui me fatigue un peu, c’est qu’en allant dans la rue et en demandant à des gens ce qu’ils pensent de la COP 26, tu serais chanceuse d’en attraper un sur 50 qui en a vaguement entendu parler», a lancé le jouteur Luc Lavoie.

Problème de médiatisation

Plusieurs mesures politiques tournées vers l’environnement sont prononcées au Québec, mais la manière dont elles sont amenées pose problème, selon Yasmine Abdelfadel.

«Le problème du gouvernement, c’est que même s’ils entament plusieurs entreprises qui sont très louables, qui vont dans le bon sens, ils arrivent à un point où il faut enrober tout ça avec les parties prenantes, les groupes, les organismes, et c’est là où ils l’échappent», a quant à elle déclaré la jouteuse.

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