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L'article provient de TVA Nouvelles
Justice et faits divers

«Substance réactive»: la GRC arrête un individu à L’Ancienne-Lorette

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Dominique Lelièvre | Journal de Québec

2021-02-05T18:29:46Z
2021-02-05T19:43:53Z
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Un individu a été arrêté et des citoyens ont été évacués dans le cadre d’une opération de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) en raison de la présence d’une «substance réactive», dans un quartier résidentiel de L’Ancienne-Lorette, vendredi.

La police fédérale indique que ses officiers mènent depuis ce matin une «perquisition» sur la rue Saint-Cyrille. L’opération se déroule près de la rue Père-Chaumonot, soit non loin de l’hôtel de ville de la municipalité, selon ce qu’a pu constater un photographe de l’Agence QMI.

Selon la caporale Mélanie Cappiello-Stébenne, du bureau des communications de la GRC, la présence d’une «substance réactive» a été «confirmée», et l’assistance des artificiers de la Sûreté du Québec a été requise.

«Il y a un individu qui a été arrêté», a également indiqué la porte-parole, sans en dire plus sur son identité.

Photo Agence QMI, Guy Martel
Photo Agence QMI, Guy Martel

Le Service de protection contre l’incendie de Québec (SPCIQ) et le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) apportent également leur soutien. En milieu d’après-midi, les autorités étaient à établir un périmètre de sécurité. Des évacuations ont dû être réalisées dans le secteur.

«On a une dizaine de pompiers qui sont présents là-bas, dont notamment l’équipe spécialisée en matières dangereuses», a indiqué le porte-parole du SPCIQ, Alexandre Lajoie.

Dans le cadre de cette intervention, le service des incendies avait initialement été appelé à se rendre, à 12h18, au 1599, rue Saint-Cyrille, un immeuble résidentiel de deux logements, mais il n’a pas été possible d’avoir la confirmation qu’il s’agit précisément du lieu de la perquisition.

La GRC n’a pas détaillé quelle était la nature de la perquisition ou ce qui a amené ses enquêteurs à cette adresse.

«Au niveau des enquêtes, nous sommes très limités dans les informations que l’on peut donner parce qu’on ne veut pas compromettre [le travail des officiers]», a soulevé Mme Mélanie Cappiello-Stébenne.

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