Pas de place dans un café de la place Royale pour Rod Stewart
Le chanteur britannique profite de la ville au lendemain de son spectacle en visitant le quartier Petit Champlain


Elisa Cloutier
Le chanteur britannique Rod Stewart s’est baladé dans le quartier Petit Champlain vendredi matin, mais n’a pu prendre son café au Smith Café comme il l’aurait souhaité, l’endroit étant «complètement bondé».
Au lendemain de son spectacle sur les plaines d’Abraham dans le cadre du Festival d’été de Québec, Sir Rod Stewart a été aperçu dans le populaire quartier Petit Champlain, où il a fait un détour par la rue du Cul-de-Sac, avant de s’arrêter à la place Royale, peu après 10h.
Ses accompagnateurs se sont rendus au Smith Café, situé au cœur de la place Royale, pour demander si la légende de 80 ans pouvait venir y prendre une pause-café.
«Ils sont rentrés et m’ont demandé si c’était correct qu’il vienne prendre un café. J’ai dit: “Bien oui, c’est certain!” Mais ils ont vu que c’était bondé, la terrasse était pleine, il y avait une file jusqu’à dehors», raconte la gérante du café, Julie Porlier, qui regrette de n’avoir pu accueillir le chanteur de Maggie May et Do Ya Think I’m Sexy?
«On lui aurait fait une place»
Celle-ci affirme qu’elle aurait fait une place à M. Stewart et son équipe s’ils étaient venus. Mais devant tant de clients, l’équipe Stewart a décidé d’abandonner son latte. «On aurait vraiment aimé lui servir son café!» lance-t-elle.
«Il disait bonjour aux gens sur les bancs en face du café, puis il est rentré dans sa grosse fourgonnette noire. [...] On lui a demandé une photo, mais il a décliné», poursuit-elle.
Bryan Adams aussi
Le Smith Café de la place Royale semble par ailleurs être prisé par d’autres artistes, Stéphane Rousseau et Bryan Adams étant des habitués, raconte Mme Porlier.
La gérante dit avoir rencontré le chanteur de Summer of 69 à au moins trois reprises dans les dernières années.

«Il vient nous voir chaque fois qu’il vient à Québec et il vient assez souvent. [...] Il est vraiment fin», confie-t-elle.
– Avec la collaboration de Cédric Bélanger