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Formations EDI: on pousse les minorités à se sentir persécutées

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QUB

2024-02-15T17:37:55Z
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La nouvelle idéologie dominante de l'équité, de la diversité et de l'inclusion (EDI) suscite des débats passionnés et même... des formations obligatoires. Murielle Chatelier, présidente de l’Association des Québécois unis contre le racialisme (AQUR), remet en question les formations imposées aux entreprises au nom de l’inclusion dans le cadre d’une discussion au balado de Mathieu Bock-Côté.

Selon Murielle Chatelier, ces sessions, prétendument antidiscriminatoires, peuvent engendrer de nouvelles divisions.

«On ne se questionne pas sur les effets à long terme de ces formations-là qu’on impose», a-t-elle souligné d’entrée de jeu. 

Murielle Chatelier affirme que ces formations ne sont pas seulement inefficaces, mais peuvent être contre-productives, exacerbant les tensions plutôt que les atténuant. Un exemple criant est celui des micro agressions, où des remarques apparemment insignifiantes deviennent sources de conflits. 

En guise d’exemple, elle souligne que le simple fait de demander à une personne son pays d’origine est désormais considéré comme une micro agression, alors qu’il s’agissait avant d’une question très acceptable. 

Et si on poussait les minorités à se sentir opprimées au nom de la diversité?

Murielle Chatelier révèle également des conséquences tragiques, mentionnant un cas où un homme, contestataire lors d'une formation antiraciste, aurait été poussé au suicide par le harcèlement qui a suivi.

La présidente de l’Association des Québécois unis contre le racialisme termine en affirmant que ces formations deviennent une idéologie obligatoire, imposée dans tous les aspects de la vie, devenant un endoctrinement plutôt qu'une réelle avancée vers l'équité.

N.B. Ce texte a été écrit à l'aide de l'intelligence artificielle à partir de l'entrevue audio de QUB.

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