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L'article provient de Le Journal de Montréal
Politique

Olivier Primeau et la politique: «J’aime ça», mais «je ne suis pas prêt»

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Agence QMI

2025-06-11T14:14:05Z
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L’entrepreneur Olivier Primeau garde la porte ouverte à un jour se lancer en politique, mais pas dans un avenir rapproché, étant donné qu’il concentre ses représentations auprès du gouvernement concernant un plan de valorisation de l’eau.

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En entrevue avec Mario Dumont à QUB radio et télé, diffusé simultanément au 99,5 FM Montréal, le propriétaire du Beach Club a indiqué qu’il a un réel intérêt pour la politique, mais avoir d’autres priorités pour le moment.

«Oui, j'aime ça, a-t-il dit. [À savoir] si je [me lancerais], peut-être un jour, je n'arrête pas de le dire, il y a beaucoup de monde qui me met des mots dans la bouche qui disent que j'ai dit que j'allais faire de la politique. Si je le faisais, oui, pourquoi pas, j'aime ça.»

«Le timing is everything dans la politique, et dans la vie en passant, mais, je ne sais pas, peut-être un jour», a-t-il ajouté.

Ce n’est pas la peur du jugement des autres qui le retient.

«Moi, ça fait déjà 10 ans que les gens me jugent, a-t-il affirmé. Ils me jugeront une journée de plus, une journée de moins, ça ne va rien changer. Mais, je ne suis pas prêt, je le dis à tout le monde.»

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• Sur le même sujet, écoutez cet épisode balado tiré de l'émission de Mario Dumont, diffusée sur les plateformes QUB et simultanément sur le 99.5 FM Montréal :

Il compte cependant discuter avec les différents partis au cours des prochains mois concernant son plan de valorisation de l’eau, lui qui a acquis des droits de captation de l’eau.

«J'ai déjà été approché et je le répète souvent, a-t-il continué. Mais, est-ce que je suis prêt? Là, je suis sur le dossier de l'eau, je veux le régler avant. Donc, on va voir après.»

«L'eau est valorisée à une valeur folle partout sur la planète, sauf ici, a-t-il ajouté. Puis, on est la place sur la planète qui a le plus d'eau de source. Donc, on a de l'eau pure ici. C'est de l'or de l'eau.»

L’homme d’affaires aurait déjà reçu plusieurs offres de rachat de ses permis de pompage de l’eau.

«Il faut savoir que si j'étais mal intentionné, je pouvais vendre ces permis-là [...] mais là, de fil en aiguille, puis de mois en mois, on a développé un plan qu'on a présenté au gouvernement.»

Écoutez le segment complet à QUB ci-dessus.

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