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L'article provient de TVA Sports
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Notre palmarès des joueurs de la LNH les plus intelligents de l’histoire

Voici 15 joueurs qui répondent à la définition du «QI Hockey»

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Photo portrait de Jessica Lapinski

Jessica Lapinski

2025-05-18T04:00:00Z
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Il existe sans doute autant de définitions de ce qu’est le QI hockey qu’il existe d’entraîneurs, de recruteurs ou d’amateurs de hockey. Mais une chose est certaine: un bon sens du hockey requiert une bonne vision ainsi qu’une bonne compréhension du jeu, une capacité d’adaptation à plusieurs situations sur la glace et, aussi, une facilité à se démarquer sur la patinoire.

Le Journal a dressé une liste des 15 joueurs, présents ou retraités, qui ont connu de brillantes carrières grâce à ces caractéristiques.

15. Peter Forsberg | Attaquant | 1994 à 2008, 2010 à 2011
Forsberg alliait robustesse et intelligence. Il protégeait la rondelle avec brio, lisait le jeu en avance et repérait ses coéquipiers. Son QI hockey lui permettait de contrôler le jeu sous pression. Il absorbait les coups sans perdre sa vision, dictait le rythme et déstabilisait les défenses par des choix judicieux.


14. Les jumeaux Sedin | Attaquants | 2000 à 2018
Henrik et Daniel Sedin ne partageaient pas que leur date de naissance: ils semblaient aussi partager le même cerveau. Les deux frères possédaient un sens du jeu hors-pair et quand ils étaient réunis, ils devenaient des machines à passes, grâce à leur synchronisation, leur vision du jeu et leur capacité à créer du temps ainsi que de l’espace.

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Photo d'archives, Agence QMI
Photo d'archives, Agence QMI

Henrik et Daniel Sedin ne partageaient pas que leur date de naissance: ils semblaient aussi partager le même cerveau. Les deux frères possédaient un sens du jeu hors pair et quand ils étaient réunis, ils devenaient des machines à passes, grâce à leur synchronisation, leur vision du jeu et leur capacité à créer du temps ainsi que de l’espace.

13. Steve Yzerman | Attaquant | 1983 à 2006
D’un flamboyant marqueur, Yzerman s’est transformé en un joueur complet et intelligent. Son QI hockey ressortait dans sa capacité à s’adapter, à sacrifier les statistiques pour la victoire. Il lisait le jeu, faisait les bons choix et inspirait par son calme. Il comprenait ce dont l’équipe avait besoin pour gagner.

12. Jaromir Jagr | Attaquant | 1990 à 2008, 2011 à 2018
Ce n’est pas pour rien que Jagr a joué dans la LNH jusqu’à 46 ans. Il s’est adapté à toutes les époques grâce à son intelligence du jeu. Il contrôlait la rondelle comme personne, créait du temps et repérait les ouvertures avant tout le monde. Même vieillissant, il restait efficace grâce à son QI hockey.

11. Cale Makar | Défenseur | 2018 à...

Getty Images via AFP
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Makar impressionne par sa lecture précoce du jeu. À peine arrivé dans la LNH, il démontrait déjà un QI hockey de vétéran. Il semble toujours choisir le bon moment pour appuyer l’attaque ou se replier. Makar évite les pièges grâce à son anticipation, relance rapidement et trouve les lignes de passe cachées.

10. Joe Sakic | Attaquant | 1988 à 2009
Sakic n’avait pas besoin d’être flamboyant. Son QI hockey lui permettait de faire les bons choix, au bon moment, sans forcer. Il lisait les situations avec calme, savait où placer la rondelle et quand attaquer. Sakic contrôlait le jeu autant avec sa tête qu’avec son corps, plaçait ses coéquipiers en position de connaître du succès et frappait quand ça comptait.

9. Adam Oates | Attaquant | 1985 à 2004
Si Oates était le roi de la passe, ce n’est pas pour rien. Il comprenait mieux que personne les angles, les espaces et le rythme. Son QI hockey le plaçait toujours à la bonne place, au bon moment. Il anticipait les déplacements de ses coéquipiers et ajustait ses passes avec précision.

8. Mario Lemieux | Attaquant | 1984 à 1997, 2000 à 2006
Lemieux ralentissait le jeu autour de lui pour mieux le contrôler. Sa vision et son calme faisaient de lui un stratège naturel. Il repérait les ouvertures que d’autres ne voyaient pas, utilisait sa taille intelligemment et exploitait les failles.

7. Connor McDavid | Attaquant | 2015 à...

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Getty Images via AFP
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McDavid n’est pas seulement le plus vite, c’est aussi l’un des plus intelligents. Il traite l’information à une vitesse incroyable, ce qui lui permet de prendre des décisions éclair tout en patinant à pleine vitesse. McDavid lit les jeux avant qu’ils se produisent et ajuste ses trajectoires.

6. Pavel Datsyuk | Attaquant | 2001 à 2016
Offensivement, les passes et feintes de Datsyuk déstabilisaient tout le monde. Et tant en attaque qu’en repli défensif, il anticipait les déplacements, lisait les intentions adverses et créait des revirements. C’était un génie du jeu, qui maîtrisait le rythme.

5. Nicklas Lidstrom | Défenseur | 1991 à 2012
Lidstrom jouait avec une précision chirurgicale. Son positionnement impeccable, sa lecture du jeu et son calme absolu démontraient un QI hockey exceptionnel. Il ne commettait presque jamais d’erreurs. Lidstrom neutralisait les meilleurs sans s’exposer ni faire de gestes inutiles.

4. Igor Larionov | Attaquant | 1989 à 2004
Il n’était pas surnommé «Le Professeur» pour rien: Larionov possédait une compréhension du jeu hors du commun. Sa patience, son anticipation et sa vision faisaient en sorte qu’il dictait le jeu plutôt que d’y réagir. Larionov plaçait ses coéquipiers dans des positions parfaites. Il incarnait l’intelligence collective sur la glace.

3. Sidney Crosby | Attaquant | 2005 à...
En plus d’un talent brut, Crosby démontre un QI hockey remarquable dans toutes les zones. Sa vision, sa rapidité d’analyse et sa prise de décision sont exceptionnelles. Le «kid» fait paraître ses coéquipiers meilleurs. S’il est encore aussi dominant à 37 ans, c’est notamment parce qu’il possède ce don d’ajuster constamment son jeu.

2. Bobby Orr | Défenseur | 1966 à 1977, 1978 à 1979
Orr a transformé la position de défenseur grâce à une intelligence de jeu exceptionnelle. Il savait quand appuyer l’attaque, quand reculer et comment dicter le rythme. Son positionnement et sa vision lui permettaient d’anticiper les menaces et de relancer rapidement. Son génie a redéfini les attentes pour tous les défenseurs après lui.

1. Wayne Gretzky | Attaquant | 1979 à 1999

Getty Images via AFP
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Gretzky voyait le jeu plusieurs coups d’avance. Ce n’était pas le plus rapide ni le plus fort, mais son cerveau travaillait plus vite que celui des autres. Il anticipait les jeux, trouvait des coéquipiers libres et créait des chances inespérées. Son QI hockey légendaire lui a permis de fracasser des records, dont plusieurs semblent à jamais inaccessibles.

Ont aussi été considérés : Patrice Bergeron, Jean Béliveau, Ron Francis, Martin St-Louis, Jonathan Toews, Henrik Zetterberg.

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