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Culture

Monic Néron fait le point sur sa relation amoureuse naissante.

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Marie-Ève Leclerc

2025-08-28T10:00:00Z
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Lors du lancement audio de Radio-Canada, l’animatrice a dévoilé des détails sur sa nouvelle émission Mimosa! et sur un projet de série documentaire qu’elle prépare avec Paul Arcand. Elle en a également profité pour revenir sur son été et faire le point sur sa vie amoureuse avec Bruno Marchand.

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Depuis le 23 août, Monic Néron anime une nouvelle émission sur les ondes d’ICI Première. Intitulée Mimosa!. Celle-ci prend la case horaire convoitée du samedi 7 h, succédant ainsi à Franco Nuovo. «Je travaille fort sur cette nouvelle émission depuis des mois. Même à 72 heures d’entrer en ondes, je changeais encore des choses, j'avais de nouvelles idées de segments. Ça faisait longtemps que j’attendais un d’envergure comme celui-là. C’est une grosse case horaire. Ça vient avec beaucoup de pression, mais j’aime ça sortir de ma zone de confort», révèle l’animatrice, dévoilant également que cette case horaire a longtemps été occupée par des hommes. «Ça fait des années qu’elle est occupée par des monuments de la radio, des hommes pour la plupart. J’aime dire au passage que je suis la première femme à l’animer depuis Marie-France Bazzo, en 1993. On était dus pour une femme le samedi matin!»

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Si elle s’était promis de ne plus refaire de radio matinale, ce défi est somme toute moins ardu pour le corps. «J’avais adoré mon expérience avec Paul Arcand durant six ans (à l’émission Puisqu’il faut se lever), mais sur le corps, c’est extrêmement difficile. On a l’impression de traîner un boulet toute la journée. Je n’avais pas envie de m’imposer ça à nouveau. Mais là, c’est une fois par semaine.»

Être bien entourée

Avec Mimosa!, Monic Néron est entourée de plusieurs collaborateurs, dont Jocelyn Lebeau à la culture, Nahila Bendali à l’actualité et Diane Sauvé aux sports. «Diane avait décidé de prendre sa retraite et on l’a repêchée. Je suis tellement contente parce que Diane a une immense sensibilité.» D’autres s’ajouteront au fil des semaines, dont Kim Lévesque Lizotte, David Goudreault, Emmanuel Bilodeau, qui fera une forme de rodage de son prochain spectacle, ou encore Sonia Benezra et Luis Clavis, qui se partageront un segment musical où nostalgie et émotions sont au rendez-vous. «J’aime ça, les classiques, surtout la musique francophone des années 1990», ajoute-t-elle.

Pour l’animatrice, Mimosa! est un rendez-vous convivial: «J’ai envie que les gens se sentent bien, qu’ils aient l’impression d’être inclus dans l’émission et qu’ils passent un samedi matin relaxe, tout en ayant l’impression d’avoir été informés. On aura un segment qui se nommera «Tout ce que vous devez savoir pour votre souper du samedi soir.» L’idée est de résumer les grosses actualités en ayant du plaisir à travers ça.» Finalement, l’idée de Mimosa! est aussi de prendre un mimosa avec une personnalité publique chaque semaine. Ces invités sont pour le moment Martin Matte, Éric Bruneau, Breen Leboeuf, Émilie Bilodeau et Véronique Lussier.

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Des projets de cœur

Durant tout l’été, Monic Néron a également animé Du front tout le tour de la tête, disponible sur Ohdio, qu’elle qualifie comme un projet de cœur. «J’y ai tout mis ce que j’avais envie de faire comme animatrice. Je voulais avoir un public, prendre le temps avec les gens, faire des entrevues avec un angle différent — celui de l’audace, du cran —, avec des personnalités qui ne font pas les choses comme les autres.» Son objectif avec cette émission: redonner espoir. «Ça se peut, faire les choses autrement et améliorer notre sort collectivement. Les gens me disent que ça les inspire, les galvanise et leur donne confiance au travail. C'est le plus beau commentaire qu’on puisse me faire! Ça m’a donné des ailes, ces entretiens-là.» L’émission sera d’ailleurs de retour l’été prochain.

Un autre projet qui tient très à cœur l’animatrice est Je suis là: les proches aidants en santé mentale, une série documentaire qu’elle mène avec Paul Arcand. «Paul et moi voulions s’attaquer à un enjeu sérieux. On s’est rendu compte à quel point il y a des failles dans le système en matière d’accès aux soins en santé mentale. Les familles en souffrent. On suit encore des familles depuis janvier.» Ce projet sera présenté à l’hiver 2026 à Télé-Québec.

Un chapitre récent

Durant la saison estivale, Monic Néron a vécu quelques changements dans sa vie, dont une relation amoureuse naissante avec Bruno Marchand, le maire de Québec. Pour des raisons professionnelles, l’animatrice a dû dévoiler publiquement son nouvel amoureux sur les réseaux sociaux. Malgré cette sortie précipitée par souci de transparence, elle affirme avoir le cœur très heureux: «Le cœur va bien. C’est sûr que c’est une relation qui est assez récente. C’est vraiment le contexte professionnel qui a fait en sorte que c’était mieux de le dire. Je suis très heureuse en ce moment.»

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Un cœur heureux et reposé, puisque Monic Néron a pu profiter d’un voyage au Portugal cet été pour recharger ses batteries: «Ça faisait longtemps que je n’étais pas allée en Europe. J’avais besoin de décrocher. J’ai eu une grosse année. L’idée était aussi de partir en voyage et d’avoir du bon temps. J’ai rencontré Kim (Lévesque Lizotte) à Lisbonne. On a eu un super moment», conclut-elle, resplendissante de bonheur.

D'autres nouvelles d'ICI Première et ICI Musique

Marc Hervieux: Une nouvelle maison avec sa conjointe

Le chanteur et animateur revient pour une deuxième année à la barre de C’est si bon, diffusée le samedi à 16 h sur ICI Musique. Un projet qui l’allume et qui lui apprend énormément de choses sur la musique des années 1930 à 1970. «Je trouve des anecdotes sans arrêt sur des orchestres swing ou big band! Parfois, j’en mets de côté, car il y en a beaucoup et je dois m’en garder.» Parmi les projets qui l’occupent, il y a toujours la direction générale des conservatoires d’art dramatique et de musique qui prend beaucoup de son temps, ainsi que le spectacle Sinatra symphonique: Marc Hervieux, qui aura lieu en janvier 2026 à la Place des Arts. La tournée Nostalgia se poursuit également cette année.

Sur le plan personnel, les choses bougent. En premier lieu, il a décidé d’officialiser la vente de son café à Sainte-Adèle: «On a fermé le café parce que ça fonctionnait trop bien. On n’avait plus le temps avec nos autres projets. Mais, j’ai mis beaucoup de temps à réfléchir. J’avais des offres de gens qui voulaient l’acheter, mais j’hésitais. C’est parce que je ne voulais pas vraiment.» Finalement, il a fait le grand saut, comme il l’a fait également avec sa conjointe Kathleen, avec laquelle il file le parfait bonheur depuis deux ans. «On a acheté une maison ensemble cet été. C’est une maison à Thetford-Mines, parce qu’elle est originaire de là, mais je continue à avoir un pied à terre ici et à voyager. Je me promène entre les deux maisons.»

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Marc Hervieux
Marc Hervieux Patrick Seguin / TVA Publications

Patrick Masbourian: Un été en famille

L’animateur est de retour à la barre de Tout un matin pour une septième saison. Son principal plaisir à l’émission: son équipe. «Je dirais que c’est l’élément numéro un. C’était l’un des principaux critères lorsqu’on a commencé l’émission il y a plus de six ans. On a un mandat, on va le respecter, mais s’il faut se lever à trois heures du matin, il faut que ça soit agréable. On s’assure que tout le monde est bien et heureux», mentionne Patrick Masbourian, qui affirme n’avoir aucun changement apporté à son émission cette année, si ce n’est que plus d’espace à la politique provinciale. Côté personnel, il a profité de son été à sa maison en Estrie, qu’il habite depuis deux ans avec sa conjointe et quatre de ses enfants. Il est également père d’un fils plus vieux, né d’une union précédente. «J’ai profité de la maison et de la bulle familiale.» Il faut dire que durant la saison de radio, il passe beaucoup de temps à Montréal. «La semaine, je suis en appartement, en ville. Je retrouve ma conjointe et mes enfants la fin de semaine. Donc, de passer du temps avec eux cet été, ça me permet de rattraper le temps perdu et de prendre conscience de ce dont je me prive durant l’année.» Il conclut en révélant que sa maison en Estrie en est une intergénérationnelle et que ses beaux-parents iront vivre avec eux prochainement.

Patrick Masbourian
Patrick Masbourian Patrick Seguin / TVA Publications

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