«Moi qui me plaignais de la solitude de la vieillesse, j’ai désormais une famille...»

Louise Deschâtelets
Je témoigne que c’est grâce au groupe de la cuisine collective de mon quartier, où je suis allée pour réduire ma facture d’épicerie et me permettre quand même de manger deux fois par jour, que j’ai fait la connaissance d’une réfugiée africaine avec qui je me suis liée d’amitié. Moi qui me plaignais de la solitude de la vieillesse, j’ai désormais une famille de trois jeunes enfants et de deux adultes dans la trentaine dans ma vie. Merci mon Dieu !
Vieille fille devenue mamie grâce à la cuisine
Hasard ou coïncidence, j’ai reçu votre lettre et la précédente en l’espa-ce de deux semaines. Quel beau doublé ça fait dans ma chronique d’aujourd’hui pour illustrer les miracles que peut produire la nature humaine quand elle se serre les coudes.