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L'article provient de TVA Sports
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Même si Frédéric Brunet joue pour les Bruins: pas question de renier P.K. Subban

Photo d'Archives, Agence QMI
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Photo portrait de Jonathan Bernier

Jonathan Bernier

2025-09-04T02:00:00Z
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WASHINGTON | Lors du seul match qu’il a disputé jusqu’ici dans la LNH, Frédéric Brunet portait le numéro 59. C’est également le numéro qu’arborait son chandail lors de l’événement promotionnel auquel il a participé, mercredi, pour le compte de la compagnie Upper Deck.

Toutefois, le jour où l’organisation des Bruins confirmera qu’il s’est taillé une place avec le grand club, c’est avec le numéro 76 qu’il désirera fouler la glace du TD Garden de Boston. Non, ce ne sera pas en l’honneur de Dennis Bonvie, Kris Vernarsky ou Alexander Khokhlachev, les trois joueurs des Bruins à avoir porté ce numéro.

Photo d'archives, BEN PELOSSE
Photo d'archives, BEN PELOSSE

«C’est le numéro que je portais dans les rangs juniors parce que P.K. Subban était mon idole», a indiqué le gaillard de 6 pieds, 3 pouces.

Mentionner le nom de l’ancien défenseur du Canadien, alors qu’on revêt un chandail noir et or, c’est pratiquement un crime de haute trahison.

«Ouin... Je ne sais pas si ça va marcher rendu là. Ça ne passera peut-être pas à Boston si je dis que je veux porter le 76 pour Subban», a-t-il lancé, en rigolant.

Faiblesse à corriger

Brunet n’a pas seulement porté le numéro de son idole de jeunesse. Il a également voulu imiter son style de jeu. Peut-être même un peu trop.

«On regardait le Canadien en famille quand j’étais petit et j’étais toujours impressionné devoir ce qu’il faisait avec la rondelle. J’essayais toujours de faire comme lui, alors je me concentrais beaucoup sur l’attaque.»

Une façon de faire qui, de son propre aveu, a fini par le rattraper.

«La défense est un de mes points faibles. À Boston, on m’en a beaucoup parlé. J’essaie d’y travailler, je veux être fiable défensivement», a-t-il souligné.

La bonne nouvelle, c’est qu’il a un bon modèle chez les Bruins sur qui il pourrait calquer son jeu.

«Charlie McAvoy est l’un des meilleurs défenseurs de la ligue et il joue sur 200 pieds. Je voudrais jouer comme lui.»

Voilà une comparaison que Cam Neely, le président des Bruins, risque d’aimer un peu plus.

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