Médecine légale: le Québec, chef de file mondial grâce à ses experts
Le Laboratoire de sciences judiciaires innove et résout des affaires non résolues grâce à de nouvelles technologies
Agence QMI
Grâce à ses experts reconnus et à ses innovations technologiques, le Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale du Québec s’impose désormais sur la scène internationale.
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«Nos experts sont reconnus scientifiquement dans le monde. Le Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale du Québec est bien positionné. On est reconnu pour être rigoureux, à l’avant-garde en termes de développement scientifique», a affirmé la directrice générale principale du Laboratoire, Suzanne Marchand, en entrevue à QUB radio et télé, diffusée au 99,5 FM Montréal.
Mme Marchand a souligné l’évolution rapide des techniques d’analyse de l’ADN, notamment grâce à la généalogie génétique et à l’étude des patronymes liés au chromosome Y, qui caractérise les personnes de sexe masculin.
Ces avancées contribuent à résoudre des enquêtes criminelles non élucidées et à identifier des personnes disparues, ce qui consolide la position de chef de file du laboratoire québécois de médecine légale.
Le laboratoire a notamment permis de résoudre le meurtre de Catherine Daviau, en aidant le SPVM à identifier son assassin 17 ans après le crime.
Voyez l’entrevue complète plus haut.