Massacres de festivaliers: certains sont peut-être «cachés dans les bois, blessés dans la campagne»
TVA Nouvelles
Des journalistes se sont rendus sur les lieux tristement célèbres du kibboutz de Kfar Aza, où plus de 200 civils ont été massacrés.
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Le journaliste indépendant à Israël, Théophile Simon, a rencontré une femme s’étant rendue sur place, où quelque 260 festivaliers ont été tués lors de l’attaque du Hamas en Israël samedi.
«Elle dit que la moitié des gens qui étaient à cette fête n’ont pas encore été retrouvés; 260 corps ont été identifiés, mais il manque encore la moitié des gens. Certains d’entre eux ont été pris en otage, c’est sûr», détaille le journaliste.
«Mais il y a l’espoir encore que certains soient encore cachés dans les bois, peut-être blessés dans la campagne. Certains ont marché trois, quatre, six heures... et donc on voit ces proches de victimes qui sont désespérément en train de s’accrocher au moindre espoir, de chercher leurs proches dans les zones libérées par l’armée israélienne – c’est très dur à voir», décrit M. Simon.
Selon le journaliste indépendant, le massacre du kibboutz de Kfar Aza «sera un véritable traumatisme dans l’histoire d’Israël pour de longues années, voire de longues décennies», déplore-t-il.
Écoutez l’entrevue complète du journaliste indépendant Théophile Simon dans la vidéo au début de l’article.