Louis Morissette révèle qu’il est un «souverainiste qui dort»

De passage au balado Étienne te ramène, Louis Morissette a fait plusieurs bonnes blagues, mais il a aussi laissé transparaître son côté plus sérieux.

Dans le plus récent épisode du podcast piloté par l’animateur de CKOI 96,9 Étienne Marcoux, le «chum de Véro» s’est bien sûr prêté au jeu de manger un ramen tout en répondant à des questions de tout acabit.

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Ce qui en a ressorti, hormis une avalanche de punchs (dont plusieurs à l’endroit de Marcoux), c’est que Morissette a encore une petite amertume envers Luc Poirier, qu’il s’intéresse à la politique mais pas au point d’en faire activement, et qu’il a à coeur la culture et l’identité québécoises.

Dans le premier cas, une petite blagounette dans les premiers instants de la rencontre Marcoux-Morissette nous permet de constater que ce dernier a encore une petite crotte sur le coeur en ce qui concerne les allégations faites par Poirier au micro de Sophie Durocher.

«Si on pouvait parler de fondation une couple de minutes, ça me permettrait de charger 5000», dit le mec comique, ironiquement.

Plus tard, il souligne qu’il «aimerait ça» faire de la politique, mais qu’il ne fera pas.

«Moi, je suis un souverainiste qui dort. Je suis très Québec, la défense de ce qu’on est, de ce qu’on peut être, de ce qu’on doit devenir», dit-il sur un ton songeur.

C’est en évoquant des relations professionnelles avec des gens de Calgary ou de Toronto qu’il a souligné qu’«on n’est pas pareils. On voit pas ça pareil.»

Par la suite, il raconte une bonne anecdote mettant en vedette Pierre Karl Péladeau et il casse du sucre sur le dos d’un collègue humoriste, Martin Matte.

C’est un sept minutes bien investi!