Grève en éducation: les écoles privées ne peuvent pas profiter de la situation

Alors que les écoles publiques du Québec sont plongées dans une grève générale depuis neuf jours, le contraste avec les écoles privées devient de plus en plus marquant. Des milliers d'élèves du réseau public sont privés d'accès à l'éducation, suscitant des interrogations sur la durée de la grève.

Dans une discussion au balado d'Alexandre Dubé, David Bowles, directeur général du Collège Charles-Lemoyne et président de la Fédération des établissements d'enseignement privés (FEEP), souligne la stabilité du secteur privé, où les écoles restent ouvertes.

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Il explique que les écoles privées, bien que soutenant leurs collègues du public, négocient directement avec leurs employés, ce qui a permis de maintenir les activités. Il rejette également l'idée d'un exode d'élèves du public vers le privé en raison des perturbations, soulignant que les inscriptions sont déjà complètes dans de nombreuses écoles privées.

«Il faut comprendre que la majorité des écoles ont déjà leurs inscriptions», a-t-il expliqué.

Alexandre Dubé pointe le décalage entre les processus d'embauche dans les deux réseaux, suscitant des réflexions sur les différences organisationnelles. David Bowles insiste sur l'autonomie des écoles privées et leur capacité à gérer efficacement les ressources. Malgré la crise dans le réseau public, le secteur privé reste stable et concentré sur l'année scolaire en cours.

«On ne veut pas du tout profiter de cette situation-là»,a -t-il d’ailleurs tenu à souligner. 

N.B. Ce texte a été écrit à l'aide de l'intelligence artificielle à partir de l'entrevue audio de QUB radio.