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L'article provient de TVA Sports
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Le seul souvenir à propos des Nordiques de Travis Green? «Les vestiaires visiteurs n'étaient pas très bien»

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Photo portrait de Kevin Dubé

Kevin Dubé

2025-09-28T18:44:14Z
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Avant d’être entraîneur-chef des Sénateurs d’Ottawa, Travis Green a joué 14 saisons dans la LNH, dont ses trois premières, de 1992 à 1995, lors desquelles il a affronté les Nordiques de Québec. Et ses souvenirs du Colisée sont vagues, sauf pour une chose: «les vestiaires visiteurs n’étaient pas très bien».

Green a lancé cette réponse, sourire en coin, samedi matin, au terme du premier entraînement des Sens dans l’amphithéâtre qui a remplacé le Colisée, en 2015, le Centre Vidéotron.

Pince-sans-rire, il a assuré qu’il s’agissait de son seul souvenir de ses rencontres face aux Fleurdelisés.

«Les vestiaires ont beaucoup changé avec le temps, mais je n’ai pas beaucoup de souvenirs. J’ai parlé avec Jacques [Martin] hier soir et je ne me rappelais pas qu’il dirigeait ici quand je jouais. Ça donne une idée que ça fait longtemps», a-t-il ajouté, de glace, avant de pouffer de rire et de s’excuser auprès de celui qui agit à titre de conseiller spécial pour le personnel d’entraîneurs des Sens.

Bon, après vérification, il est vrai que Green n’a pas connu les meilleurs moments de sa carrière contre les Nordiques.

En neuf parties contre Québec au cours de sa carrière, il n’a récolté que deux buts et une passe, tous récoltés lors de la saison 1993-1994.

Un bel aréna

Mais les temps ont changé. Québec n’a plus d’équipe de la LNH, mais détient, au moins, un amphithéâtre des temps modernes.

Et cette fois, Green n’a pas pu critiquer l’état du vestiaire de son équipe, puisque les Sénateurs occupent les installations des Remparts de Québec, depuis leur arrivée.

«L’amphithéâtre est magnifique, a-t-il assuré. Il y a beaucoup d’espace et la glace est en très bon état. On ne peut pas se plaindre.»

Et depuis leur arrivée à Québec, les joueurs des Sénateurs en ont profité pour faire des activités visant à resserrer le groupe.

Et, les entraîneurs, eux? En profitent-ils pour resserrer leurs liens, durant un voyage comme celui-ci?

«Nous sommes toujours en train de resserrer les liens, a ironisé Green, que la nuit au Château Frontenac avait visiblement rendu de très bonne humeur. Nous faisons beaucoup de vidéos, on étudie l’adversaire, toutes sortes de belles choses comme ça.»

Passionnante, la vie d’entraîneur!

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