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L'article provient de TVA Sports
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L’identité du Rocket se résume à cette statistique

«On est fiers de ça»

Ben Pelosse / JdeM
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Photo portrait de Dave Lévesque

Dave Lévesque

2024-11-19T19:00:02Z
2024-11-19T19:10:14Z
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LAVAL | Pendant que le Canadien se cherche encore un peu à Montréal, le Rocket connaît un départ phénoménal dans la Ligue américaine. 

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À sa première saison à la barre de l’équipe, Pascal Vincent voit ses hommes se trouver au sommet de la division Nord avec 12 victoires et 2 défaites pour 24 points. Le Rocket est second au classement général avec un point de retard sur les Wranglers de Calgary qui ont disputé deux matchs de plus.

Le Rocket rentre d’un voyage de cinq parties à l’étranger avec une fiche de quatre victoires et un revers.

«C’est très satisfaisant, mais on a des choses à travailler, a soutenu Vincent. On ne veut pas être trop satisfaits non plus. On joue du gros hockey, les gars travaillent fort, on fait beaucoup de bonnes choses, on marque des buts à des moments importants.»

Son équipe va disputer trois matchs en quatre jours à compter de mercredi. Deux de ces rencontres seront jouées à la Place Bell.

Avare

En 14 rencontres cette saison, le Rocket n’a jamais accordé plus de trois buts à l’adversaire. C’est une statistique qui ne passe pas inaperçue.

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«C’est sûr qu’on est fiers de ça, mais plus ça avance, plus les joueurs en sont fiers et ça devient notre identité d’équipe», explique l’entraîneur-chef.

Quand on regarde les marqueurs chez le Rocket, on voit que Joshua Roy, Alex Barré-Boulet, Logan Mailloux et Owen Beck se détachent un peu du lot, mais pas tellement.

«La beauté de notre équipe c’est qu’il y a tout le temps quelqu’un qui prend la relève, souligne Pascal Vincent. Ce sont vraiment des victoires d’équipe.»

Samedi dernier, à Rochester, c’était au tour de Laurent Dauphin de prendre le haut du pavé avec un tour du chapeau. Il s’agissait d’un premier match de trois points cette saison pour le vétéran de 29 ans.

«Je pense qu’il peut produire offensivement, mais c’est surtout un bon joueur sur 200 pieds, il peut jouer au centre ou à l’aile, sur l’avantage numérique ou en désavantage numérique, il est plus qu’un joueur purement offensif.»

Dauphin n’est plus le même joueur depuis que Vincent l’a jumelé à deux nouveaux partenaires de trio.

«Depuis qu’on l’a réuni avec Riley [Kidney] et Xavier [Simoneau], ils jouent du bon hockey. Simoneau amène les joueurs de sa ligne à compétitionner et Dauphin et Kidney sont embarqués dans cette énergie.»

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