Publicité
L'article provient de TVA Nouvelles
Culture

Le prince Harry nie avoir accusé la famille royale de racisme

Partager

Agence France-Presse

2023-01-09T00:49:57Z
Partager

Le prince Harry a démenti dimanche que lui et son épouse métisse Meghan Markle aient accusé la famille royale de racisme en 2021 lors d'une interview à la télévision américaine.

• À lire aussi: Le prince Harry défend à la télévision ses mémoires «nécessaires»

• À lire aussi: Le prince Harry à la télévision pour défendre ses mémoires fracassantes sur la famille royale

• À lire aussi: Le prince Harry «n’est pas très stable psychologiquement»

Le duc de Sussex s'exprimait lors d'un entretien dimanche à la chaîne britannique ITV pour promouvoir ses mémoires à sensation.

Interrogé sur le fait que le couple avait accusé de racisme un membre de la famille royale qui s'était interrogé sur la couleur de peau qu'aurait leur fils à naître, Harry a répondu «non je ne l'ai pas fait», ajoutant «la presse britannique a dit cela».

Un an après leur départ fracassant pour les États-Unis en 2020, le duc et la duchesse de Sussex ont donné une interview à la télévision américaine dans laquelle ils ont affirmé qu'un membre de la famille royale - mais ni la reine ni le prince Philip - s'était interrogé sur la couleur de peau qu'aurait leur fils Archie.

Voyez un segment de l'entrevue en anglais dans la vidéo ci-dessous:

Publicité

Cette interview avait relancé un vif débat au Royaume-Uni sur le racisme dans le pays, en mettant en cause l'attitude des tabloïds envers Meghan, poussant le Palais de Buckingham à réagir au nom de la reine Elizabeth II.

«Même si les souvenirs peuvent varier, ils sont pris très au sérieux», avait alors indiqué la souveraine, ajoutant son intention de les traiter «en privé».

«Il y a eu des inquiétudes sur (sa) couleur de peau», a ajouté Harry dimanche sur ITV. Mais interrogé sur le fait de savoir s'il considérait cela comme du racisme, il a répondu «non, pas pour avoir vécu dans cette famille».

«Il y a une différence entre le racisme et des préjugés inconscients», a-t-il insisté.

Il évoque aussi un épisode récent qui a fait polémique lorsqu'une militante féministe et antiraciste noire, Ngozi Fulani, a été interrogé de manière insistante sur ses origines par une amie proche de la défunte reine Elizabeth II.

«Ce qui est arrivé à Ngozi Fulani est un bon exemple de l'environnement au sein de l'institution», ajoute-t-il.

Publicité
Publicité