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L'article provient de TVA Nouvelles
Justice et faits divers

La quinquagénaire à Longueuil a été victime d'un meurtre

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TVA Nouvelles, Laurent Lavoie | Journal de Montréal

2022-01-06T18:10:19Z
2022-01-06T22:51:13Z
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La police considère maintenant la mort d’une femme de 54 ans à Longueuil comme un meurtre.

• À lire aussi: Une quinquagénaire retrouvée morte dans son véhicule à Longueuil

Le corps de la femme a été trouvé avec la gorge tranchée mercredi dans un véhicule dans un stationnement commercial de Longueuil. 

La femme a été retrouvée inanimée par un passant devant une caisse Desjardins, sur le boulevard Roland-Therrien, peu après 13 h, selon les informations du Service de police de Longueuil (SPAL).

« Des témoins seront rencontrés aujourd’hui, et puis il y a des analyses qui vont être faites au niveau des images de caméras de surveillance qui ont été captées aux différents commerces avoisinants », explique la porte-parole du SPAL, Mélanie Mercille. 

Thierry Laforce / Agence QMI
Thierry Laforce / Agence QMI

Des agents ont été dépêchés sur place et un périmètre de sécurité a été établi, en plus d’un poste de commandement.

Photo Agence QMI, Thierry Laforce
Photo Agence QMI, Thierry Laforce

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Vives inquiétudes   

Plusieurs citoyens rencontrés par TVA Nouvelles affirment avoir été choqués en apprenant la nouvelle.

« Je ne sais pas dans quel monde on est aujourd’hui, mais il y en a qui ne sont pas corrects », lance un homme. 

« La première réaction, je suis choquée. Ça veut dire que ça devient un peu dangereux la vie ici », affirme une femme. 

Des employés de la Caisse Desjardins ont tous indiqué n’avoir « rien vu ».

Photo Agence QMI, Thierry Laforce
Photo Agence QMI, Thierry Laforce

« Je ferme le soir, je suis seule des fois. Tu ne sais jamais, c’est Longueuil quand même. J’ai travaillé à Montréal sur [l’avenue] Hôtel-de-Ville et [sur la rue] Sainte-Cath, et c’était 10 fois plus pire. C’est sûr que ça fait peur », a confié Mélissa Agostinucci, gérante au resto-bar Barbies, situé tout près de la scène.

Même son de cloche chez Stéphanie Girard, superviseure au Harvey’s, qui dit avoir seulement aperçu les véhicules policiers arrivés sur la scène.

« Surtout quand tu fais le “close” le soir, tu veux être en sécurité », a-t-elle souligné.

Les enquêteurs devaient épier les caméras de surveillance des commerces afin de faire la lumière sur l’événement.

SI VOUS AVEZ BESOIN D’AIDE

SOS violence conjugale  

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