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L'article provient de TVA Nouvelles
Culture

La nouvelle saison de «Chefs de bois» est arrivée et la compétition est encore plus relevée

PHOTO COURTOISIE VRAI
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Frédérique De Simone | Agence QMI

2023-04-11T12:00:00Z
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Ils cuisinent avec des fouets faits en brindilles, des rouleaux à pâte et des cuillères de bois qu’ils ont eux-mêmes taillés dans des branches. Les concurrents de la troisième saison de «Chefs de bois» font preuve d’inventivité.

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C’est aussi l’équipe de cuisiniers la plus forte à s’être installée au camp jusqu’à présent, selon le chef et mentor Martin Picard. 

«Le niveau était très élevé cette année et les résultats sont impressionnants dès le début. Ça nous a amenés à développer des défis encore plus relevés», a-t-il confié à l’Agence QMI.

Cette saison sera d’ailleurs davantage axée sur la nourriture et la cuisine que sur les défis, bien que ces derniers demeurent bien présents dans l’ADN de l’émission.

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«Les gens [qui participent à l’émission] ont regardé les saisons antérieures et quand ils arrivent [au camp], ils s’attendent à avoir un peu la même chose que la saison précédente, donc ils sont préparés. L’idée, cette année, c’était vraiment de casser le schéma pour qu’ils puissent être déstabilisés», a ajouté Martin Picard.

La troisième saison s’amorce avec un premier défi physique. Les 11 chefs sur la ligne de départ doivent traverser le lac, grimper sur une plateforme flottante et y décrocher une clé, puis revenir au camp pour accéder à l’une des neuf haches. 

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Les deux chefs sans hache doivent ensuite cuisiner, sur une bûche suédoise, un aïoli avec les moyens du bord pour entrer dans l’aventure.

Une fois dans les rangs de «Chefs de bois», les concurrents ont à cuisiner, pour leur premier défi culinaire, des quenelles de brochet, une sorte de beignet artisanal accompagner d’une émulsion – ce qui représente tout un défi sans robot culinaire –, tandis que la dégustation se fait à l’aveugle.

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Martin Picard leur donne également tout ce qu’il faut pour faire de la germination, de la fermentation, de la macération, des marinades et des infusions pendant leur séjour.

Tous les chefs qui participent à l’émission ont évidemment un intérêt franc pour la nature. 

«Quelqu’un qui n’a pas cet intérêt-là ne pourrait pas survivre dans la compétition. Il y a beaucoup de produits forestiers qu’on ne trouve pas dans tous les restaurants ou qui sont difficiles à avoir. D’ailleurs pour les travailler, pour les connaitre, il faut s’y intéresser», a rappelé Martin Picard, qui reconnait que les chefs de cette saison ont fait leurs devoirs.

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Le deuxième épisode fait place au premier défi de bois et au retour de la hache d’or, qui donne le droit à un joueur de sauver un candidat du bûcher. 

Divisés en deux équipes, les chefs ont à scier des rondins, assembler un escalier et remplir un tonneau d’eau de rivière à coup de chaudières. 

Les gagnants ont accès à un poussoir à saucisses alors que les perdants héritent d’un entonnoir. Un avantage considérable pour le deuxième défi culinaire, où ils ont à cuisiner des saucisses forestières à orignal.

La troisième saison de «Chefs de bois» est déposée sur Vrai dès mardi. Quant à la deuxième mouture, elle débarquera sur TVA à compter du mercredi 31 mai.

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