La lettre d’excuses du PDG d’Astronomer qui circule en ligne n’est pas vraie

Ce jeudi, la planète a fait connaissance avec Andy Byron, PDG d’Astronomer, et sa supposée maîtresse, Kristin Cabot, qui est aussi la directrice des ressources humaines de son entreprise.

Les deux tourtereaux assistaient ensemble au concert de Coldplay, à Boston, quand la caméra s’est braquée sur eux et a projeté leur image sur l’écran géant.

• À lire aussi: Immense malaise pendant un spectacle de Coldplay: un couple pogné en plein adultère

• À lire aussi: Le PDG filmé en plein adultère pourrait-il poursuivre Coldplay?

Pris en flagrant délit de tendresse, les deux personnes mariées (mais pas ensemble) ont tout fait pour camoufler leur gêne, mais cela n’a fait qu’accentuer le malaise.

En quelques heures à peine, la scène a fait le tour du globe. Rapidement, des publications attribuées à Byron ont émergé, incluant un communiqué d’excuses mêlant regret sincère et paroles de ColdplayLights will guide you home...»).

En se donnant la peine de fouiller la source de cette lettre, le compte X @PeterEnisCBS, on réalise bien vite que ce journaliste n’existe pas et qu’il est basé dans un lieu nommé «Parody».

Malheureusement, de nombreux internautes sont tombés dans le panneau et ont relayé la lettre comme s’il s’agissait d’une véritable déclaration d’Andy Byron.

Une autre publication virale prétend également être un communiqué officiel de la part du PDG d’Astronomer.

• Écoutez aussi cet épisode balado tiré de l'émission de Alexandre Dubé, diffusée sur les plateformes QUB et simultanément sur le 99.5 FM Montréal :

Dans cette dernière, la blague est plus évidente puisque le message prend rapidement une drôle de tournure où Byron semble se confesser de son péché: aimer Coldplay.

Toutefois, ces deux publications sont évidemment fausses.

Et c’est là, la seule déclaration officielle de la firme Astronomer au cours de la (très mouvementée pour elle) journée de jeudi.

«Ceci n’est pas une vraie déclaration», a indiqué Taylor Jones, directeur des communications chez Astronomer.

Au moment d’écrire ces lignes, ni Byron ni Cabot n’ont réagi publiquement à l’affaire.