La génération dorée américaine
TVA Sports
Le tout est hautement hypothétique puisque les joueurs de la Ligue nationale de hockey (LNH) n’ont toujours pas le feu vert pour participer aux Jeux olympiques de 2026 en Italie. Toutefois, si les meilleurs joueurs de hockey de la planète sont admis au rendez-vous olympique, la formation américaine aura certainement les outils pour aller jusqu’au bout.
La dernière médaille d’or américaine en hockey sur glace aux Olympiques remonte au «Miracle on Ice» de 1980. La troupe d’Herb Brooks avait surpris tout le monde en s’imposant, notamment devant les puissants Soviétiques dans la phase finale de la compétition.
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Depuis, c’est la panne presque sèche, outre les médailles d’argent en 2002 et 2010.
«Mon Dieu que cette formation est solide. Ils seront tous à l’apogée de leur carrière. Ils auront tous très faim, a souligné l’ex-attaquant américain Mike Modano, qui faisait partie de l’équipe en 2002, à ESPN. Je dirais que depuis les années 1990, ce serait la meilleure [équipe] que nous ayons eue.»
Et pour cause, surtout avec des joueurs comme les attaquants Auston Matthews, Jack Hughes, les frères Brady et Matthew Tkachuk, les défenseurs Charlie McAvoy, Adam Fox et Quinn Hughes ainsi que les gardiens Connor Hellebuyck et Jake Oettinger.
Et ce n’est que la pointe de l’iceberg en rajoutant les noms de Jason Robertson, Jack Eichel, Tage Thompson, Dylan Larkin, Clayton Keller, Cole Caufield, Zach Werenski et Thatcher Demko, notamment.
Tout ça fait peur.
«Je pense que c’est probablement la liste de joueurs américains avec le plus de profondeur. Il y a tellement de super-vedettes», a indiqué l’attaquant américain James van Riemsdyk, qui était du tournoi olympique en 2014, à Sochi, en Russie; le dernier lors duquel les joueurs de la LNH étaient admis.
Cette équipe américaine pourrait permettre aux frères Hughes (Jack, Quinn et Luke) et aux frangins Tkachuk (Brady et Matthew) d’évoluer tous ensemble avec l’uniforme américain sur le dos.
«J’en ai vraiment rêvé, a confié Brady Tkachuk. Si jamais cette opportunité se présente, je pourrais être sélectionné pour faire partie de l’équipe. Ce serait un rêve qui deviendrait réalité. Et un rêve de jouer aux côtés de Matthew.»
«J’espère vraiment qu’on puisse avoir la chance de jouer [aux Olympiques] et que j’aie la chance de jouer avec mon frère, a dit Matthew Tkachuk. C’est vraiment un item sur notre liste de choses à faire.
«(...) L’or est vraiment dans nos pensées.»
