«JiC» entre dans son nouveau studio

L’émission JiC a fait son entrée dans son nouveau studio du 4545, Frontenac jeudi, à Montréal.

Il s’agit du troisième studio dans l’histoire de la populaire émission sportive qui fait partie de la grille horaire de TVA Sports depuis janvier 2019.

L’équipe de JiC est la dernière à déménager dans les installations rénovées de la rue Frontenac, où plusieurs médias de Québecor, dont Le Journal de Montréal, TVA et QUB radio, sont désormais rassemblés.

Ce déménagement devait, à l’origine, être terminé lundi prochain, mais il a été possible de devancer la chose.

«On a vraiment des équipes dédiées, qui sont extraordinaires, a commenté l’animateur, Jean-Charles Lajoie, avant l’émission. Parce qu’à problème majeur, solution majeure: l’entrée ici était prévue lundi, c’est deux jours ouvrables, deux jours où on aurait travaillé ventre à terre pour être fin prêts lundi et on a dû se retourner en exactement 18 heures.»

«Je dis “on”, mais moi, je n’ai rien fait là-dedans, a-t-il ajouté. Moi, j’ai eu 20 minutes de moins à faire pour venir travailler. Ce que cette équipe-là a accompli est extraordinaire. Ça sent le char neuf, c’est beau, j’ai hâte.»

Ces nouvelles installations ont par ailleurs beaucoup de potentiel, a souligné l’animateur.

«Évidemment, comme moi quand j’ai un nouveau char, ça me prend trois mois pour trouver tous les gadgets, j’en ai un depuis un mois et demi, je découvre des affaires tous les jours, a-t-il illustré. C’est ce qui va arriver avec la bébelle, qui est tellement agile, qui peut faire tellement de choses. Donnez-nous un peu de temps.»

«On était des artisans qui faisaient de la belle télévision, on est maintenant des pros qui jouent dans les ligues majeures», a-t-il ensuite souligné.

La dernière émission produite dans le vénérable édifice du 1600, Maisonneuve Est, à Montréal, a donc eu lieu le mercredi 7 mai 2025. Quitter cette bâtisse riche en histoire causera un pincement au cœur de l’animateur.

«Je m’en vais là après le show, chercher mon logo à ampoules que j’ai obtenu, merci à nos patrons, et ça s’en vient dans le garage à la maison, a-t-il expliqué. C’est sûr que je vais fendre en deux. Je vais être seul dans la bâtisse.»

«Ce building-là, tu rentres, tu fais juste écouter, t’as toute l’histoire. Les murs parlent sans arrêt. Surtout quand il n’y a pas un chat comme actuellement, tu entends tout.»