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L'article provient de Le Journal de Montréal
Société

Sarah Couture (@SarahCout): une pionnière sur les réseaux sociaux à Québec

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Photo portrait de Elisa Cloutier

Elisa Cloutier

2023-06-16T18:45:37Z
2023-06-16T22:56:49Z
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Assurément l’une des pionnières du métier d'influenceur à Québec, Sarah Couture connaît toujours un vif succès sur les réseaux sociaux, après près de 10 ans de métier.

«Je suis un fossile!» lance-t-elle en riant.  

«Le terme influenceur n’existait même pas lorsque j’ai commencé mon blogue [Les trouvailles de Sarah]. Je ne pensais même pas faire ce que je fais aujourd’hui», avoue la bachelière en communication publique, qui propose entre autres des trouvailles mode et des trucs beauté sur ses plateformes. 

À la tête de son entreprise 

De finaliste à l’émission Occupation double en 2012 à la tête de sa propre entreprise, en plus d’être maman d’une petite fille de deux ans, Sarah Couture se dit fière du chemin parcouru. Elle a même une adjointe à temps complet depuis près de six ans.  

«Je ne me suis pas dénaturée [...] J’ai commencé en allant magasiner, je me prenais en photo dans les cabines avec mes trouvailles et encore aujourd’hui, ça colle à moi, mais ça a évolué», dit-elle. Pour ce faire, elle admet refuser presque quotidiennement des demandes de marques ou d’annonceurs qui souhaiteraient travailler avec elle, si ceux-ci ne la représentent pas. «Ceux qui acceptent tout, ça leur enlève de la crédibilité, selon moi», affirme l’influenceuse de 34 ans. 

Dans le cadre de son travail de créatrice de contenu mode, Sarah Couture passe plusieurs heures par semaine dans des centres commerciaux. On la voit, ici, aux Galeries de la Capitale de Québec.
Dans le cadre de son travail de créatrice de contenu mode, Sarah Couture passe plusieurs heures par semaine dans des centres commerciaux. On la voit, ici, aux Galeries de la Capitale de Québec. Photo Stevens Leblanc

Au cours des prochaines années, Sarah Couture, qui a récemment dessiné des sacs à main en collaboration avec l’entreprise québécoise Lambert, voudrait lancer sa propre marque, sans préciser encore dans quel domaine.  

«C’est un rêve que j’ai depuis longtemps. Je promeus les autres et j’aime ça, mais pourquoi je ne ferais pas mes propres choses?» dit l’entrepreneure, qui partage son quotidien avec quelque 388 000 personnes sur les réseaux sociaux. 

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