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L'article provient de Le Journal de Montréal
Santé

«Ils auraient voulu créer une situation de "chèques pas de fonds" pour me nuire et me faire quitter leur logis abordable...»

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Photo portrait de Louise Deschâtelets

Louise Deschâtelets

2025-07-15T04:00:00Z
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En t’adressant ma lettre Louise, je ne sais pas si j’écris à la bonne personne. Mais je sais au moins que si tu la publies, ça va renseigner les gens sur la folie qui sévit dans le monde du logement et qui pourrait expliquer la « fameuse crise » dont on dit qu’il est affecté.

Au mois de mars dernier, le délégué des propriétaires, en passant des unilingues anglophones vivant au Québec depuis 50 ans, mais encore incapables de dire un mot en français, ce pour quoi je dis bravo à nos fédéralistes, m’apostrophe dans le corridor pour me parler de mon loyer non payé.

Or de toute ma vie, et j’ai 61 ans, je n’ai jamais fait de chèque sans provision. Après 5 ans, 6 mois, et 60 chèques faits à mes propriétaires, il n’y a eu aucun problème avec mes chèques. Mais voilà que dans les derniers mois, ils ont tenté de faire honorer le chèque du 1er mars en février, et celui du 1er juin le 15 avril. Ils auraient voulu créer une situation de « chèques pas de fonds » pour me nuire et me faire quitter leur logis abordable, qu’ils n’auraient pas pu faire mieux.

Mais comme le vieux loup que je suis tient toujours son compte bien garni, je sais que c’est la banque qui les a stoppés dans leur démarche de destruction. Comment devrais-je riposter à ces scélératesses ?

Des conseils STP

Le mieux est toujours de procéder par le recours légal et accessible à tous en ce qui concerne les immeubles en location, soit le TAL (Tribunal administratif du logement).

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