«Il n’y a pas un mot dans le dictionnaire qui explique ça», dit le fils de la femme poignardée à mort à Laval
TVA Nouvelles
Au lendemain du meurtre inexplicable d’Irina Draghicescu à Laval, son fils Robert est toujours sous le choc.
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«Je n’y crois pas. C’est très difficile pour moi d’assimiler», a-t-il déclaré, en entrevue au TVA Nouvelles.
La famille de la femme de 46 ans poignardée par un pur inconnu n’arrive tout simplement pas à s’expliquer comment un tel drame a pu se produire.
«Il n’y a pas [de] mot dans le dictionnaire qui explique ça», clame Robert Draghicescu.
«On va devoir vivre avec ça pour le restant de nos vies», ajoute-t-il.
Les proches de l’agente immobilière ne peuvent aujourd’hui que tenter de faire de leur mieux pour passer à travers ce drame.

Attaquée au hasard
Irina Draghicescu aurait été ciblée par son meurtrier par hasard, se retrouvant sur le chemin du tueur alors qu’elle effectuait simplement une marche dans un boisé du quartier Chomedey.
«Ç’a été une question d’être au mauvais endroit au mauvais moment», résume son fils.
Pour ce dernier, le sort qu’a subi sa mère est d’abord une question d’extrême malchance.
«On a tous eu beaucoup de malchance, parce qu’on [en] paye tous le prix maintenant», indique-t-il.
Robert Draghicescu se dit néanmoins heureux que le présumé coupable ait été rapidement arrêté.
Ni lui ni sa mère ne connaissait le tueur de 20 ans, mais pour M. Draghicescu, il est évident que le présumé meurtrier n’avait pas toute sa tête.
«Commettre ce genre de geste, c’est un signe de trouble mental, d’une déviance», mentionne-t-il.
Pour voir l’entrevue complète, visionnez la vidéo ci-haut.