Grève de la FIQ: «Il y aura un certain ralentissement», dit la présidente
QUB Radio
Après les membres du Front commun, voilà que les membres de la Fédération interprofessionnelle de la santé (FIQ) se sont prononcés à leur tour à 95% en faveur d'une grève. Cette décision marque un mandat fort de la part des professionnels de la santé, qui expriment leur insatisfaction face aux offres du gouvernement.
En entrevue au balado d’ Alexandre Dubé, Julie Bouchard, présidente de la FIQ, explique que les offres salariales sont jugées inacceptables par les membres. De plus, le gouvernement souhaite mettre en place des postes de rotation, ce qui perturberait la stabilité des professionnels en soins.
La grève est prévue pour les 8 et 9 novembre prochains, avec des services essentiels maintenus dans les urgences et les soins intensifs. Cependant, il est à noter que la FIQ se réserve la possibilité d'étendre la grève en fonction des avancées aux négociations.
- Écoutez l'entrevue intégrale au micro d' Alexandre Dubé, disponible en balado via la plateforme audio QUB radio:
Les membres de la FIQ sont prêts à intensifier leur mouvement de protestation pour défendre leurs revendications, et la grève générale illimitée reste une option sur la table. Cette décision aura bel et bien des répercussions sur les systèmes de santé et sur l'accessibilité aux services, mais la FIQ s'engage à garantir que la population continuera de recevoir les soins nécessaires malgré les perturbations.
«Aucun service n’est complètement coupé. Ça se peut que le temps d’attente soit un peu plus long.», a-t-elle tenu à souligner.
N.B. Ce texte a été écrit à l'aide de l'intelligence artificielle à partir de l'entrevue audio de QUB radio .