François Lambert a trouvé 50 cennes par terre

Si vous lisez ceci, c’est que vous êtes curieux.

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Bravo. C’est une belle qualité. Christophe Colomb l’avait lui aussi, si on se fie à la collection de livres jeunesse «Un bon exemple de...».

Deux autres belles qualités qui étaient mises en vedette dans ce répertoire de valeurs honorables était «Un bon exemple de sens de l’économie», avec Benjamin Franklin dans le rôle principal, et «Un bon exemple de charité», avec nul autre que le cardinal Léger comme exemple à suivre.

Eh bien, ce matin, l’homme d’affaires François Lambert nous a prouvé qu’il a probablement déjà lu ces deux ouvrages dans sa jeunesse puisque qu’il a fait des économies qu’il a ensuite redistribuées à des gens qui en avaient davantage besoin que lui.

«En arrivant au centre-ville, on attendait à la lumière rouge environ sept personnes, tous le regard au sol. Deux 25 cents par terre. Personne n’ose les ramasser.

Moi, je ne me suis pas gêné 💪 Je l’ai fait, et le monde me regardait mi-envieux, mi-cheap 😄

Quand une opportunité se présente, on la saisit.

Mon père m’a toujours dit : « C’est avec des cennes qu’on fait des piasses. »

Personne ne l’a fait, alors je l’ai fait», a raconté le nouveau propriétaire de deux trente sous.

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«Mais rassurez-vous 😉

Le premier itinérant que j’ai croisé a hérité de mes 50 cents», a ajouté l’ancien propriétaire de deux vingt-cinq cennes.

La société québécoise a accueilli cette nouvelle avec des réactions réparties de façon assez dispersée sur le spectre émotif.

La page de mémés (que l’on croyait inactive) L’Actualité en mèmes a choisi l’humour sarcastique.