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L'article provient de TVA Sports
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[EN PHOTOS] Les partisans des Oilers ont envahi Sunrise et... Fort Lauderdale

Le partisan des Oilers d'Edmonton Goldy Gill jouait du tambour devant l'Amerant Bank Arena, à Sunrise, avant la septième et ultime rencontre de la finale de la Coupe Stanley, le lundi 24 juin 2024.
Le partisan des Oilers d'Edmonton Goldy Gill jouait du tambour devant l'Amerant Bank Arena, à Sunrise, avant la septième et ultime rencontre de la finale de la Coupe Stanley, le lundi 24 juin 2024. Photo Benoît Rioux
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Photo portrait de Benoît Rioux

Benoît Rioux

2024-06-24T21:16:04Z
2024-06-25T00:15:56Z
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SUNRISE | Ils n’étaient peut-être pas plus nombreux, mais les partisans des Oilers étaient clairement plus visibles et plus bruyants que ceux des Panthers, lundi en Floride, à quelques heures du début du septième et ultime match de la finale de la Coupe Stanley.

Autour de l’Amerant Bank Arena, à Sunrise, les chandails bleu et orange se multipliaient. 

Al Sim avait trimballé sa propre réplique de la coupe Stanley devant l'Amerant Bank Arena, à Sunrise, avant la septième et ultime rencontre de la finale de la Coupe Stanley.
Al Sim avait trimballé sa propre réplique de la coupe Stanley devant l'Amerant Bank Arena, à Sunrise, avant la septième et ultime rencontre de la finale de la Coupe Stanley. Photo Benoît Rioux

À l’intérieur de l’amphithéâtre, de petites serviettes blanches ont par ailleurs été disposées sur les bancs aux couleurs des Panthers.

Photo Bruce Bennett / Getty Images via AFP
Photo Bruce Bennett / Getty Images via AFP

Plus tôt dans la journée de lundi, bon nombre de partisans des Oilers, venus de l’Alberta pour la plupart, ont plutôt profité de la plage à Fort Lauderdale.

Photo Benoît Rioux
Photo Benoît Rioux

Certains avaient commencé tranquillement le party, notamment au charmant bar Elbo Room dans le quartier Las Olas, bien avant que la rondelle ne soit déposée sur la patinoire, en soirée.

Photo BENOÎT RIOUX
Photo BENOÎT RIOUX

Le temps d’une journée, le terme «las olas», qui signifie «les vagues», semblait vouloir être modifié pour «los oilers». Ne restait plus qu’à voir si, à Sunrise, les partisans des Oilers allaient pouvoir faire la vague en fin de soirée.

Photo Benoît Rioux
Photo Benoît Rioux

Pendant ce temps à Edmonton, là où la culture du hockey est beaucoup plus présente, ça devait être le chaos.

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