Dua Lipa se défend de la séparation avec son agent pour des positions controversées
Cover Media
Dua Lipa nie avoir licencié son agent après qu’il a tenté de retirer le groupe Kneecap de l’affiche du Glastonbury.
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Selon les rumeurs, la chanteuse de Dance the Night se serait séparée de David Levy après qu’il a signé une lettre adressée aux organisateurs de Glastonbury, Michael et Emily Eavis, demandant que le trio de rappeurs irlandais soit retiré du festival en juin en raison de leurs opinions pro-palestiniennes.
Dua Lipa et un porte-parole de son agence de talents WME ont tous deux qualifié l'allégation de fausse, insistant sur le fait que David Levy a cessé de travailler avec la pop star en 2019.
«Je ne tolère pas les actions de David Levy ou d’autres dirigeants musicaux à l’égard d’un artiste qui dit sa vérité», a écrit la pop star sur ses stories Instagram. «Je ne peux pas non plus ignorer la façon dont cela a été traité dans la presse. Non seulement l’histoire était complètement fausse, mais le langage utilisé par le Daily Mail a été délibérément incendiaire, conçu purement pour attirer les clics, pour alimenter la division en ligne.»
La chanteuse de Levitating, qui a exprimé son soutien aux Palestiniens dans le cadre du conflit actuel à Gaza, a ajouté: « La Palestine est toujours libre, mais exploiter une tragédie mondiale pour vendre des journaux est quelque chose que je trouve profondément troublant.»
Dans une déclaration séparée, un porte-parole de WME a expliqué que David Levy «s’est orienté vers un rôle de conseiller» en 2019 et n’a pas été impliqué dans les affaires quotidiennes de Dua Lipa depuis lors. Il «s’est complètement retiré du projet parmi d’autres plus tôt cette année».
« Les rumeurs suggérant que Dua Lipa ou sa direction ont renvoyé l’un de nos agents en raison de ses opinions politiques sont catégoriquement fausses», ont-ils ajouté.
Malgré les appels au retrait de Kneecap de Glastonbury, le concert du groupe a bien eu lieu en juin, mais la BBC a interrompu sa diffusion en direct en raison des inquiétudes suscitées par les déclarations politiques du trio. Les chanteurs ont entraîné la foule en scandant «Free Palestine» et «F**k (le premier ministre) Keir Starmer».
Liam Óg Ó hAnnaidh, membre de Kneecap, également connu sous le nom de Mo Chara, a été inculpé d'infraction terroriste en mai. Il est accusé d'avoir arboré un drapeau représentant le Hezbollah, une organisation interdite, lors d'un concert l'année dernière. Le musicien, qui a nié l'accusation, est attendu au tribunal vendredi.
