Des membres de la FIQ manifestent devant le bureau montréalais du ministre Dubé

Les négociations entre la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) et le gouvernement Legault se poursuivent, tandis que le syndicat demande que l’expertise de ses professionnelles soit reconnue.

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Réunis devant le bureau montréalais du ministre de la Santé Christian Dubé, des membres de la FIQ souhaitent mettre davantage de pression sur l’employeur.

Afin d’améliorer les conditions de soins des Québécois, les conditions de travail des 80 000 membres de la FIQ doivent être améliorées et reconnues à leur juste valeur, martèle le syndicat.

«On a une expertise particulière, et c’est ça qu’on veut démontrer. 80 000 membres, c’est pratiquement la plupart du personnel en soins infirmiers du Québec. On a une expertise qu’on doit mettre au jeu», indique à TVA Nouvelles la vice-présidente de la FIQ, Françoise Ramel, devant une dizaine de membres.

La FIQ n’a pas tenu de nouvelles journées de grève depuis le 14 décembre dernier.

Le syndicat assure que «tout doit être négocié à la table» et que les discussions progressent.

Dans les quatre dernières semaines, la FIQ a exhorté les députés caquistes à «faire pression sur le gouvernement au nom de la santé de leurs citoyens», indique-t-on par voie de communiqué.

*Voyez les explications dans la vidéo ci-dessus*