L’ancienne journaliste et maintenant candidate de la Coalition avenir Québec dans Chutes-de-la-Chaudière, Martine Biron, défend son choix de se lancer en politique.

Même si plusieurs signalent l’apparence de conflit d’intérêts, l’ex-journaliste qui a couvert la colline parlementaire affirme qu’au contraire, elle s’est lancée en politique rapidement pour démontrer l’effet inverse.

«Si je n’avais pas fait le saut en politique et que j’avais réfléchi à ma décision mijotée, j’aurais couvert la campagne et là j’aurais eu un réel enjeu», explique Mme Biron.

Elle envisageait déjà un changement de carrière et l’offre de la CAQ est survenue au bon moment. 

«J’ai pris cette décision à un moment où j’avais envie d’un autre défi. J’aurais probablement fait un autre choix après la campagne électorale, mais l’offre y était et la porte s’est ouverte», dit-elle.

Aucune promesse de ministre

La CAQ avait l’impression de frapper un coup de circuit en annonçant la candidature de Martine Biron dans la circonscription de Chutes-de-la-Chaudière, mais elle confirme qu’aucune promesse de ministre n’a été faite de la part de François Legault.

«On se présente en politique, on veut gagner dans notre circonscription et après c’est dans les mains du premier ministre», souligne la candidate de la CAQ.

Voyez l’entrevue intégrale dans la vidéo ci-dessus.