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L'article provient de TVA Sports
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«C’est assez dur mentalement...»

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Agence QMI

2023-02-10T21:36:51Z
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Aux dires d’Artemi Panarin, personne n’est plus heureux que lui d’avoir vu les Rangers de New York conclure une transaction pour acquérir Vladimir Tarasenko. La relation d’amitié entre les deux Russes remonte à plus d’une décennie.

C’est au Championnat du monde de hockey junior de 2011 que les deux adolescents de 19 ans se sont connus. La Russie a éventuellement gagné le tournoi, ce qui a créé des liens forts entre ces jeunes hockeyeurs.

Dans la vidéo, ci-dessus, voyez le premier point de presse de Vladimir Tarasenko avec les Rangers.

Tarasenko en était à une deuxième participation au tournoi, et il a ainsi pris sous son aile droite, l’ailier gauche.

«Il s’est occupé de moi. C’était ma première fois avec l’équipe nationale, alors il a pris soin de moi. Je ne le remercierai jamais assez pour ça», a raconté Panarin en mêlée de presse, vendredi, selon le site NHL.com.

Vendredi, les deux comparses de 31 ans complétaient un trio avec le Suédois Mika Zibanejad à l’entraînement, de quoi faire frémir la plupart des gardiens de la Ligue nationale. Leur premier défi était le Kraken de Seattle, en soirée.

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Dans ses pantoufles

Depuis son arrivée en Amérique du Nord en provenance de Saint-Pétersbourg, Tarasenko n’a connu que St. Louis comme maison. Pour un homme qui n’aime pas le changement, la Grosse Pomme s’avèrera tout un défi.

«C’est assez dur mentalement de changer les choses, a-t-il indiqué. Moi, j’aime les vieilles choses. J’utilise mon vieil équipement depuis plusieurs, plusieurs années. Je n’arrive pas à le changer. Mais je suis heureux d’avoir ce nouveau défi.»

Le départ du Missouri s’est fait un peu contre son gré, puisque les Blues n’ont montré aucun signe qu’ils souhaitaient conclure avec lui une nouvelle entente. Tarasenko deviendra joueur autonome à la fin de la campagne, quand son contrat de huit ans et 60 millions $ viendra à échéance.

AFP
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«Je n’ai reçu aucune offre alors je savais que je m’en allais ailleurs, a-t-il confié. J’ai parlé avec Artemi, et [les Rangers] me voulaient et je voulais être ici aussi. C’est une grosse équipe. Un de mes meilleurs amis joue ici. Nous avons une chance de gagner la coupe encore et c’est ce qui nous motive.»

Tarasenko, vainqueur de la coupe Stanley en 2019, pourra aider Panarin à mettre la main sur le précieux trophée. Celui-ci est arrivé à Chicago en 2015, quelques mois après la dernière conquête des Blackhawks.

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