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«C'était vraiment très difficile mentalement»: Alanis Désilets s'ouvre sur son deuil et ses soucis familiaux

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Sarah-Maude De Rive

2025-03-20T14:30:00Z
2025-03-20T14:41:47Z
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Invitée par Lysandre Nadeau et Claude Bégin pour une discussion sur l'entrepreneuriat et la parentalité, Alanis Désilets a donné plus de détails sur les épreuves qu'elle a traversées dans la dernière année.

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Dans ce nouvel épisode de Parenthèse, Alanis est arrivée en vrai rayon de soleil, prête à parler de ses projets et de la vie qu'elle mène avec Joël, son mari, et ses deux jeunes enfants; si bien que Lysandre lui a demandé quel était son secret. À travers le rôle de mère qu'elle remplit de façon très impliquée, son copain étant davantage restreint par son horaire de travail, la gestion de son café et son contenu qu'elle prend immensément à coeur, l'entrepreneure réussit à garder la tête hors de l'eau et d'être comblée par son quotidien.

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C'est ce qui a donc mené aux confessions d'Alanis, qui a révélé que tout n'était pas aussi rose qu'il y paraîtrait. En effet, elle a trouvé 2024 particulièrement difficile, puisqu'elle y a vécu la séparation de ses parents et le décès de sa grand-maman , le tout en organisant son mariage.

Cette période «plus dark» qu'elle décrit, elle commence à en ressortir, mais elle a vraiment été affectée par les événements qui se sont enchaînés:

«C'était vraiment stressant comme année. [...] J'ai fait le demi-Ironman l'année passée [...] et c'est ça qui m'a shut down, je pense. C'était comme un genre de burn-out, c'était tellement intense l'entraînement. Puis quand la journée est arrivée, en fait, la semaine, j'arrivais à Tremblant pour faire le Ironman, puis ma grand-mère est rentrée à l'hôpital. Puis la journée que j'arrivais, on a su que c'était un cancer généralisé. J'ai fait mon Ironman, elle est morte 7 jours plus tard.»

Elle explique aussi que le stress qui a fait fluctuer son poids, combiné au fait que le sport était maintenant associé à son deuil, a vraiment joué sur son image d'elle-même et sa santé mentale.

Heureusement, elle dit avoir retrouvé son «beat», et avoir recommencé à bouger et à respecter sa routine, ce qui lui fait le plus grand bien. Elle sait aussi qu'elle a plein d'ambitions personnelles et en famille qui l'attendent en 2025, et qu'elle ne pourra pas être partout en même temps, mais n'est pas trop dure envers elle-même. Pour elle, «on décroche» en fin de compte de la frustration de ne pas pouvoir tout accomplir comme on l'imaginait.

On salue sa persévérance inspirante!

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