Après les allégations de chantage sur Taylor Swift, Blake Lively se prononce et ça s'empire
Cover Media et Sarah-Maude De Rive
Blake Lively qualifie de «virulente» l'allégation de Justin Baldoni selon laquelle ses avocats auraient essayé de faire chanter son amie Taylor Swift, et est contrecarrée par des accusations disant qu'elle aurait favorisé un environnement de travail épouvantable pour ses employés.
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Le drame se poursuit dans la guerre judiciaire que se livrent Blake Lively et Justin Baldoni. Cette fois, l'équipe juridique de l'acteur et réalisateur a affirmé devant le juge que l'ancienne star de Gossip Girl avait utilisé du chantage pour faire pression sur son amie Taylor Swift afin que celle-ci lance un message de soutien en sa faveur.
Dans de nouveaux développements, on apprend maintenant que le juge du cas n'a pas donné raison aux avocats de Justin Baldoni. Au contraire, selon les paroles des représentants de sa co-vedette féminine dans un communiqué, ce qu'avançait le réalisateur de It Ends With Us n'avait aucun fondement:
«Il a fallu moins de 24 heures à la Cour pour voir clair dans les accusations non pertinentes, inappropriées et virulentes de M. Freedman, les annuler, les écarter de la Cour et avertir M. Freedman que toute nouvelle inconduite pourrait être sanctionnée.»
Bryan Freedman, l'avocat de Justin Baldoni, affirmait pourtant avoir été informé par une source proche de Taylor Swift qui selon lui «a de fortes chances d'avoir des informations fiables» que les avocats de Blake Lively avaient contacté Taylor Swift pour lui demander de publier un message de soutien sur ses réseaux sociaux. Selon cet informateur, ce serait l'avocat de Blake Lively qui «a demandé, au nom de sa cliente, que Taylor Swift fasse une déclaration sur les réseaux sociaux pour soutenir Mme Lively étant donné qu'elle serait présente au Super Bowl cette année-là, et a déclaré que si Mme Swift ne le faisait pas, Mme Lively publierait "10 ans" de textos privés avec Mme Swift».
Les allégations maintenant rejetées, déclarées comme «diffamatoires» par le juge de l'affaire, constituent un autre pas de recul pour l'acteur de Jane The Virgin, qui a poursuivi Blake et son mari Ryan Reynolds après qu'elle l'ait accusé de harcèlement sexuel:
«L'intention apparente de M. Freedman est de diffuser dans la presse des allégations scandaleuses et diffamatoires concernant Mme Lively et l'avocat de la partie adverse, en abusant du rôle de la Cour», a déclaré le juge dans sa réponse.
La balle des accusations à nouveau renvoyée à Blake Lively
La situation du chantage à peine gérée, Blake Lively fait maintenant face aux reproches de six anciens employés de sa boutique en ligne Preserve, aujourd'hui fermée, qui soutiennent que leur ancienne patronne dirigeait un lieu de travail «fou et toxique».
«L'ensemble de l'entreprise était un désastre absolu», a déclaré l'un d'entre eux au Daily Mail, faisant ensuite référence au procès qui oppose les interprètes de Lily et de Ryle dans It Ends With Us.
«Les allégations de Blake sur le lieu de travail sont profondément ironiques, étant donné qu'il s'agissait de l'un des environnements les plus dingues, toxiques, émotionnellement épuisants et désorganisés que l'on puisse imaginer», a-t-il ajouté au sujet de l'ancienne marque de l'actrice.
Faisons un petit retour en arrière: Blake Lively a lancé Preserve en 2014 dans l'espoir d'en faire une marque de beauté et lifestyle lucrative à l'instar de Goop, le site à succès de l'actrice et femme d'affaires Gwyneth Paltrow. Toutefois, les ventes trop basses et la faiblesse du trafic l'ont contrainte à fermer le site moins d'un an après son ouverture, laissant un goût amer à son équipe:
«L'impression que Blake m'a laissée après avoir travaillé à Preserve est qu'elle s'en fiche», a déclaré un autre ex-employé. «C'était un environnement de travail vraiment toxique.»
Deux autres sources ayant travaillé chez Preserve ont aussi affirmé qu'ils n'avaient pas eu les moyens de prendre le métro parce que leurs salaires n'avaient pas été versés à temps, tandis qu'un autre a affirmé que le bureau avait manqué de mobilier «pendant des mois».
«Cet emploi a manqué de professionnalisme à bien des égards. Pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, il n'y a pas eu de bureau.»
Des révélations choc qui ne manqueront pas de faire des vagues dans les prochains jours — on reste à l'affût de ce que l'actrice hollywoodienne aura à dire sur le sujet!
