Lowe’s cherche à pourvoir 300 postes pour ses magasins Rona et Réno-Dépôt

Agence QMI
La division canadienne de l’entreprise Lowe’s a annoncé lundi qu’elle tiendra durant la fin de semaine une opération de recrutement afin de pourvoir 300 postes pour ses magasins Réno-Dépôt et Rona de la région de Montréal.
Au total, la compagnie cherche à pourvoir plus de 5000 postes à temps plein et à temps partiel à travers le pays. «Avec l’engouement que l’on connaît pour la rénovation résidentielle depuis deux ans, notre réseau offre bien plus qu’un emploi; il offre un terrain d’apprentissage rêvé pour quiconque souhaite développer ses compétences et croître», a souligné par voie de communiqué Marc Macdonald, vice-président principal, Ressources humaines.
Les postes à pourvoir vont des rôles de commis à la réception et d’associé(e) aux ventes à ceux de membres de l’équipe de nuit, en passant par des rôles de soutien administratif et de marchandisage.
«Que ce soit pour jeter les bases d’une carrière remplie d’occasions de développement ou pour décrocher un emploi d’été permettant d’acquérir des connaissances pratiques en matière de rénovation résidentielle, notre réseau de magasins offre aux Canadiens et Canadiennes en recherche d’emploi un environnement idéal où bâtir des fondations solides pour l’avenir», a ajouté M. Macdonald.
L’événement se tiendra en mode hybride grâce à la plateforme électronique de la compagnie. Les personnes qui souhaitent passer une entrevue en personne peuvent utiliser la plateforme pour réserver une plage horaire d’entrevue ou se présenter au magasin RONA ou Réno-Dépôt.
«L’entreprise s’assure que nos compétences sont mises de l’avant et que les possibilités de progression soient au rendez-vous pour ceux qui le souhaitent. C’est stimulant, et surtout rassurant, de savoir que nous avons l’appui et l’écoute de nos gestionnaires, ainsi que tous les outils nécessaires pour grandir professionnellement au quotidien», a confié Sébastien Allard, directeur général adjoint au magasin l’entrepôt RONA Saint-Bruno.
Cet événement survient à presque un an, jour pour jour, après que l’entreprise ait aboli une quinzaine de postes à son siège social de Boucherville.