1er juillet: voici ce que les déménageurs n’ont pas le droit de faire
L’organisme de défense des consommateurs est aux aguets à l’approche du 1er juillet

Francis Halin
À l’approche de la journée québécoise du déménagement du 1er juillet, l'Office de la protection du consommateur (OPC) donne des exemples de clauses de contrats interdites, qui peuvent être carrément illégales.
«Un commerçant ne peut pas se dégager de toute responsabilité en cas de bris sur un meuble ou de dommage à une propriété ni limiter sa responsabilité en imposant une franchise au consommateur», mentionne l’organisme de protection.
«Aussi, toute mention permettant au commerçant de modifier unilatéralement l’un des éléments essentiels du contrat, comme le prix, est interdite. Le contrat doit indiquer clairement tous les frais que le commerçant pourrait exiger», ajoute-t-on.
Programme de surveillance
L’OPC a lancé en début d’année un programme de surveillance. Il a effectué 101 vérifications et a envoyé 89 avis à des entreprises.
L’an passé, il a reçu 165 plaintes contre des déménageurs.
Plus de 332 demandes de renseignements ont été traitées.